vendredi 30 juillet 2010

Ich kein deutsch spriegzob, WAS ???

Bon, j'mets quoi comme date ?
Quelqu'un veut une date ou bien ?? nan, t'facon vouzavez pas le choix.

Lundi quequ'chose...
On arrive a Berlin, on va a l'AFP, tout ca tu sais donc je passe. On avait parlé d'aller dans un squat, c'est ce qu'on a fait. Precision : c'est plus un squat maintenant, ils ont un contrat avec la ville, comme beaucoup d'ancien squats. Les gens qui vivent ici doivent payer environ 200€ le mois.
Donc on est dans un vieux batiment à l'intérieur encore très squat, genre du bazar partout, des vieux machins ici et là mais rien n'est au hasard. Il y a par exemple une zone Free Box, des gens viennent déposer des fringues et en prendre, c'est un èchange règulier, enfin le genre de chose qui se font toutes seules, certains ne font que prendre ou dèposer... (j'ai du y prendre un tshirt ayant perdu le mien)BbrRefF

Quand on est arrivés ici (le New Yorck), y'avait une sorte de soupe populaire anarchiste, au bar a l'intérieur des gens d'ici et là prennent un repas Vegan (aucun produit animalier pour les inconnus au mot vegan) mais toujours très bien cuisiné pour 2€ et en quantité limitée seulement par nos estomacs. Qu'est-ce que ca fait du bien de manger chaud et à volonté, c'est magique. Le demi litre de biere a un euro c'est comfortable aussi.
QUI a dit que j'arrète pas de faire des fotes ??? Quoi l'orthographe ? Et alors ?
Et on a réussi a être invités pour passer la nuit dans la salle de réunion. En ajoutant que nos mains sont à leur disposition le lendemain pour aider n'import'où.
Voila on passe la soirée à discuter et rencontrer des gens, le lendemain on nous offre un petit déjeuner avant de passer à l'action. Ici ils rénovent tout le batiment et d'une certaine maniere cela leur permet d'acquérir les lieux petit à petit. Ils ont déjà moins de charges en ayant installé leur propre système incendie. Ce que nous avont fait est d'aider pour les fenêtres, elles sont dans un salle état et y'en a un paquet. C'est vraiment super de filer un coup de main ici, pas comme "travailler", pas de boss, pas de stress, si on veut faire une pose de 15 min toutes les 5 minutes ou s'en aller, c'est pareil, et si y'a quelque chose qu'ils nous répetent quand on aide c'est justement cela. On est pas obligés mais ca nous fait plaisir comme à eux de leur prêter mains forte.

S'entendant bien on a gratté une autre nuit, et depuis ils nous ont proposé de rester, donc tous les matins vers 10h30 11h.. on se lève pour refaire les fenêtres et souvent ils nous demandent pourquoi on travaille pendant les vacances. On est pas les seuls d'ailleurs, tous les jours y'a de nouvelles têtes autour des fenêtres et vers 14h on mange dehors tous ensembles. Tina, une des habitantes du New Yorck, a un véritable art de la cuisine, des légumes, tous les jours c'est Vegan et on a jamais mangé autant de légumes en si peu de temps mais on s'en plaint pas. Puis l'aprem on bosse coci coca. Enfin on bosse ou pas quoi.

On est donc ici depuis lundi, ayant décidé de rester et c'est vraiment génial, c'est mieux que ce qu'on pouvait espérer. Entourés d'anarchistes, tous dans un esprit comunautaire et ouvert, la premiere personne à qui on a parlé est une punk d'environ 40 balais avec une crête blonde, du genre vraiment sympa. Chers lecteurs venez tous a Berlin, vous ne le regretterez pas, ici la seule chose que l'on regrette c'est la viande puisque bouffe vegan tous les jours. D'ailleurs ce soir on va s'acheter des steaks hachés pour se re-proteiner disons. J'aimerais bien en rajouter et y'en a à dire mais c'est à vivre.

On a aussi rencontré des gens qui font du voyage comme nous, genre 2 italiennes qu'on a juste croisés qui font les mêmes destinations que nous mais en train. Un mec qui fait du stop et qu'a passé une nuit avec nous avant de se diriger vers un festival puis a Prague. What more ? What would we need more ??? Gir... peutêtre




C TOU BYE

lundi 26 juillet 2010

On a pas eu le temps de trouver un titre.

Hello there

Lundi  26 juillet 2010
Bon, prague c'est génial, mais faut avoir un bon budget, on s'est un peu balladés hier, genre pas beaucoup. On a pris la Becherovka pour Marie-Lo, t'inquiète on l'ouvre pas. On a cherché comment sortir de Prague en direction de Berlin, ça avait l'air vachement compliqué.

Puis dans la soirée on a cherché un coin pour dormir dehors, genre comme avant hier, sur le toit, une cachette à laquelle la pluspart des gens ne penseraient pas. Mais hier soir, impossible de trouver, donc crevés de fatigue, saoulés (au mauvais sens du terme) de devoir chercher, on a squater un parc minable, noé sur un banc minable, et moi en dessous. Le genre de nuit à être plus fatigués le lendemain... D'ailleurs dans la matinée, vers 5h, j'ai entrouvert un oeil au bon momment, pour repérer un mec genre trèèèès louche, à moins de 10 mètres (une heure ou on était les seuls dans le parc), qui discrètement s'approchait pour nous observer. On pense qu'il cherchait à tirer un sac pendant que l'on dormait, quand il a vu que je bougeais pour l'observer lui aussi, il s'est reculé, feintant de disparaître mais toujours pas très loin, derrière un arbre, puis faisant le tour pour arriver par ailleurs... Bref, on s'est vite bougés, de toutes façon noé crevait de froid.

Donc voilà, ce matin on a pris le tram et le métro pour aller à l'extrêmité Nord de Prague, où une autoroute nous intéressait. On a aperçu une station essence pas très loin, on l'a rejointe à pied, assez facilement, puis le trajet s'est assez vite enchaîné. Un gars nous a emmené sur une autre station pour être plus loin de Prague, puis une femme Tchèque avec qui j'ai pas mal discuté (et qui usait très régulièrement le mot "definetly") nous a déposé vers la frontière à côté d'Usti-Nad-Labem. Enfin, on a trouvé une jeune mère qui rentrait de Bulgarie pour retourner chez elle à Berlin, donc là où nous sommes depuis 12h... Celle-ci était aussi très sympathique.

Donc nous sommes à l'AFP où l'on nous a renseigné sur deux squat potentiels dans Berlin, on va pas tarder à décoller pour les trouver. On va surement rester un ou deux jours dans cette ville, puis direction la Hollande.

dimanche 25 juillet 2010

Bordelovka

Bon alors d'abord desole, mais clavier tcheque oblige, pas d'accents francais a disposition...
En plus on va faire court, parce que c'est deux couronnes la minute dans le cybercafe.

Salut toi, tu veux pas nous emmener a Kelh ? Koi, nan ? Comment non ? Oh ca va la, band of MDFCKR.
Ben t'sais quoi ? Je quitte la France a pied. On est a Stras', grosse ville. On va a Kelh, grosse ville. Y'a qu'une seule route. Genre bouchon continu. Et personne veut nous prendre. On y est alles a pieds.

Kelh. Direct, tabac, pacher. Biere, pacher. Autre chose ? Ca y'est on est paumes. Pour l'instant c'est la seule ville Allemande dans laquelle on est entres. Le stop a Kelh c'est en mode desespoir et il pleut. Le mec qui nous prend est americain, il nous depose sur la station pres de de Stuttgart, grosse station essence. Rien a voir avec la France, deja ca roule a la zob entre 100 et 200 km/h. Au top, meme si on s'est tape un gros flip en mode rouler dans un fosse pour pas percuter un camion.

En Allemagne, il y a une station pour deux voies, et parfois une station pour un croisement. C'est la merde pour trouver des bagnoles qui vont dans ton sens.

Je reprends, la ou le ricain nous a depose, chance, 15 minutes pour trouver un mec qui nous emmene a Ulm. Ce mec c'est Mista Dieu. Comme nous il a voyage en stop avec un pote il y a 10 ans. Arrive a la station de Ulm, il nous offre 6 cheeseburgers et calcule notre itineraire, avant de nous laisser ici. On a essaye de pioncer devant la station mais on s'est fait virer, du coup on a du monter la tente sous la pluie dans un coin planque entre des arbres.

Apres une bonne nuit, difficile de trouver quelqu'un qui va dans notre sens. Et un metalleux nous emmene sur un croisement d'autoroute, "in the middle of nowhere"... On a glande ici toute la journer avant d'etre pris par une maman et son gosse qui nous a bien rapproche de la frontiere Tcheque. La direct on a trouve un Tcheque, Mista Filip, bien sympa qui nous a renseigne sur le pays, et qui nous a deposes vers Plzen a cent bornes de Prague. Ici encore, on a trouve rapidement un mec pour nous emmener a Prague, bien sympa aussi, meme s'il ne parlait pas anglais.

Il nous a depose au centre, sous une pluie torrentielle, et c'est avec difficulte qu'on a cherche un coin au sec. Pour finalement atterir dans une auberge de jeunesse, le Ritchie's, endroit super cool, on a discute toute la soiree avec des gens de partout.

Le lendemain, on a glande, on s'est moque des touristes, on s'est ballades, et on a bu une biere. Le soir, trop bien, on s'est retrouves dans un pub nonstop et fumeur, loin du centre et des touristes, biere pas cheres et on a enfin goute la Becherovka, et c'est TROP BIEN. On a joue au billard avec une Tcheque, chaleureuse, et en kiffe devant les cheveux de Cyril. On est sortis vers trois heures, pour trouver cent metre plus loin, dans un parc, une espece de construction moderne facile a escalader sur le toit de laquelle nous avons dormis, jusqu'a midi aujourd'hui.

Pour l'instant on a fait que marcher et on ne sais pas encore quand c'est qu'on va partir...

jeudi 22 juillet 2010

Aztek in Flames

Mercredi 21 juillet, arrivés à Strasbourg

- Là c'est la place des Halles, y'a une galerie marchande !
(mmmmh beeer)
- Exact, faut gouter la bière Alsacienne, après, tout droit par là c'est le centre.
- Ok !
- Et vous trouverez facilement le Molodoi, c'est assez connu, y'aura peut-être un concert ce soir, voilà.
- Yeah, merci beaucoup, pour le transport, les conseils, tout ça quoi, on va commencer par la bière, puis on se retrouvera peut-être au Molodoi, a++++...

Bon, comme dit précédemment, personne ne sait où consigner les bouteilles en verre, alors je les pose là, et quand je repasse là, elles y sont plus, donc heureux le petit malin qui gagne 42 centimes ! Entre là et là on a skwaté les bureaux de l'AFP pour poster le message d'avant. Laite zgo tou ze Molodoi. En fait y'a rien de chez rien au Molodoi. Donc pas moyen de trouver un squat ou des gens avec qui passer la soirée, pas grave, on s'pose la sur le petit truc en béton et on.... Rien.
DRRRIIINNG
-(Nono) Wesh Maman qu'est-ce qu'ya ?? Un pote à toi qu'habite rue des Dentelles dans La Petite France, tu l'appelles ? Ok c'est cool.
Bien, on y va, c'est par où?
...
C'est quelle rue déjà ? Rue des ...? des quoi ?
- (Cyril) Ben appelle le.
- Mais nan on va trouver !
- Mais si !
- Mais nan !
- Rappelle CHTE DIS, on sait même pas quelle rue on va là, oh, déconne pas.

Bref, on tourne en rond pendant une bonne demi-heure dans la petite france, "on est déjà passé par là", demi-tout, gauche, hein ? "c'est dans l'autre sens, là on sort de la p'tite france"
trop bien y'a d'la musique la bas vers les resto, on s'arrête, on écoute :
"Ooh OUI Dieu est grand, OUI Dieu !"
VIIITE ON DECAMPE, nan mais ça va, oh ! faut pas déconner. Bon, on pose not' cul là, tu sors ton téléphone, on est paumés, tu l'appelles, il nous dirigera. "Allo, c'est quelle rue déjà ? Dentelle ? j'crois qu'on est dedans, attends..."
-EEEHOOOH !
On lève la tête, à la fenêtre, Jean-Luc, qu'on cherche depuis un moment en tournant en rond, ben en fait on avait posé not'cul devant sa porte.
On pouvait pas rêver mieux ! Petit appart bien calé, plancher bancal, c'est plus folklo. Jean Luc, fan de musique a tout l'air d'être un ami précieux. Très hospitalier, et  accompagné d'une très charmante jeune femme nommée Claire. Bière, bonne bouffe, poulet frite salade et steak. Top du Top. Une fois calé on digère grâce à un p'ti rhum-citron. On s'fait plaisir avec un p'ti rhum citron. On a fini la fin de notre rhum, mais Jean-Luc a une fin de Havana Club en réserve. Bon ben on s'amuse avec un p'tit rhum citron. Et ça cause, et ça tize, et ceci-cela-touça-tutévu?
On a bien du noter six ou sept noms de groupes, de musiciens, d'artistes, de labels et même de films, y'a a découvrir ici.

Jeudi 22 juillet,
Une booonne nuit de sommeil, un p'tit dèj impaccable, café, pain frais et confiture (framboise =)
Et puis voilà, j'pose mes pattes sur le clavier pour raconter ma vie, c'est bien, c'est très bien, on s'est presque compris toi et moi...On continue à découvrir, et d'ici pas très longtemps on bouge direction l'Allemagne.
Bizou la mouche, beeuuaarrk, koi ? nan rien, ok, écoute ! ... j'ai pris ma douche avec une casserole, bah ouais faut faire chauffer l'eau au gaz, puis la mettre dans un seau, puis mélanger au froid, et s'arroser à la casserole dans la salle de bain. Ca fait du bien, j'commençais à être gris.
Ciao l'ami.

Cyril.

mercredi 21 juillet 2010

Toto + Exigence

Dimanche 18 juillet, en début d'aprèm'
... et lundi 19 !

Wesh Chécytown, petit bled àlacon. Cependant la famille Kieffer est d'une grande hospitalité. Nous fûmes entretenus comme des rois. On mange bien, on dort bien, on fout rien. Si ! Du ping pong, on a d'énormes courbatures, qu'est-qu'y a, tu veux ma tong ? Alors j'ai pris ma Sixteen et j'ai retourné Atlanta. Dernier soir, goulée de rhum, on pose les manettes, et au dodo !

Mardi matin, glandouille sur la nationale. Plus tard on a rencontré Mista 8.6, surnommé ainsi pour sa générosité en binouzes, qui nous a déposé à l'Intermarché. Le mec vraiment au top qui anticipe nos besoins : free beer & clopes. Après, ce fut la looooooooose sur le parking d'une nationale jusqu'à l'arrivée d'une proviseure de lycée. Lorsqu'une station blindée de cons entre Reims et Châlons-en-Champagne nous retient d'environs 23h à 14h15.

Au moment ou mon stylo s'agite - sur le carnet de bourre - nous sommes avec deux babos, dans une caisse over-blindée, qui nous ont extirpé du calvaire qui a vu notre première nuit à l'arrach' et notre galère sous la pluie. C'est cool, on peut fumer dans la caisse et on est presque à Strasbourg.

Un peu plus tard dans la journée, Strasbourg, les jolies filles, la bouteille de bière consignée - que personne sait où aller pour ramasser l'oseille -, tout ça tout ça. Ce soir on trouvera peut-être un concert et un lit au Molodoï, ou pas.

Cyril et Noé - même si Cyril a beaucoup dirigé mon style -

lundi 19 juillet 2010

Viande + Inox

Eh bah ! ...
Cha commence comme cha !
Once a poney time (or maybe twaïsse, I'm not too sure)...

Samedi 17 juillet 2010, à 8h et quelques pas très loin de Givors.
On a pas attendu très longtemps qu'une dame nous emmène (avec pire qu'une deux cheval) jusqu'à l'entrée de l'autoroute de Claire mon fer à cheval rouillé... je (dé)raisonne. Prenons (bis) : Là, pas très longtemps pour être emmené par une jeune femme à qui j'ai raconté mes meilleurs calembourrrres. Arrivés au péage de Clermont, c'est la loooose d'une légère attente. Dans la bagnole suivante, on a pas beaucoup causé, même que j'ai pioncé c.t.tro.bi1 ! Et puis la jeune bachelière à la place du mort c'était presque Cécilia.

Tout ça c'était avant le DRAME. Ca allait super vite. Environs un peu plus de trois heures pour arriver à BOURGES, SALOPERIE, CHIER, CONNASSE, ch'te nbref...
Station à la con avec trois voies de sortie, impossible de pécho tout le monde avec notre carton "Orléans". Quelle idée d'aller à Orléans ? C'est pourri personnyva ! On craque. La libération de cet enfer est arrivée au bout de six heures, pour notre plus grand soulagement. Bourges -> Orléans se fait en écoute d'IN FLAME, Korn, puis un peu de Lacuna Coil, AU TOP !

Orléans. Direct. Epicerie. Bière. AAAaaah, OOoooh, YEAH (MDFCKR) et là, remerde. Après être sorti en boussole d'Orléans, impossible de gagner Checy. 22h30 personne ne veut de nous. Bande de gros cons ! égoistes ! Vous nous rendez bien service quand même. La seule bagnole qui s'arrête (quand on était prêts à pioncer au bord de la route), c'est pour nous dire qu'elle n'allait pas à Checy. Mais à une "grosse" soirée. Si on veut venir ? Ouais, pourquoi pas ? Presque arrivés, c'est avec étonnement que l'on découvre une impasse de 400 mètres blindée de caisses de chaque côtés. Une grosse soirée, tu dis ? Une méchante TAWA, ouais !!
A plus de cent mètres on sent déjà les relents de raga et les tintements de métal. Il s'agit de la 5ème édition (plus ou moins légale) du GROS FEST ! Concert extérieur dans une ferme, un côté scène, l'autre mixage. 1ere scène : METAL. GROS. GRAS. BRUYANT. KIFFANT. On trouve une fin de rosé qui tache bien, hop, on se le siffle. On bouge côté mix, raga et dub accompagnent une session feu. Direct je skwate. Staff, Bolass, et moi qui crache du feu, trop bien, grosses flammes, hop, je m'enflamme. Euh, AU SENS PROPRE ! AAAAARG PANIKABORD ! En fait c'est juste un retour qu'a pris une de mes mèches, lapute, pas grave j'en ai plein, je m'y
Dimanche 18 juillet, 0h00
remets, crachouille parci parlà. retour côté scène. PUNK. HURLANT. DESTROY. CHAOTIQUE. BORDEL. Plus punk que musical, ça qu'est bien. Public sur scène se fracassant avec les musicos en (non) harmonie. Jamais vu un tel bordel. ORGIE. Suite avec du JAZZ MANOUCHE. VIRTUOSE. C'était la transe. Puis un bon ROCK/METAL/POST-ROCK. Méchant pogo couplé d'un orgasme auditif.
Trouvage d'une teille de sky, puis une de rhum, cheeeer bien.
Encore un groupe punk, je crois.
Puis encore du punk, enfin je crois.
J'ai bu, refait une session feu. Puis vers un peu plus de 4h, j'ai rejoint Nono qui s'était déjà couché, pas très longtemps avant. Il y avait des tentes dressées, autour de nous, mais pas la notre, pas besoin à ce moment là. Duvet. Paille. Dodo. Gros dodo.
Environ 11h, j'entrouvre un oeil PAN j'ai pris un mur.

... ...

aïeaïeAÏE... j'ai une barre dans le crâne. Autour de moi, ça s'agite, des gens sortent des tentes, rangent des affaires, s'affairent parciparlà... Quand soudain un "...bordel me reste trop de bières..."
Direct : "J'peux en avoir une ?
- Ouais, ton pote aussi ?
- Ouais
- Vous voulez de la brioche ?
- Ouais, merci beaucoup"
Megatop du top, p'ti dèj à la Heineken et à la brioche (aux pépites de chocolat, attention !).
On glande une heure ou deux, je m'fais servir un p'tit Ricard, dans le verre, sur le verre, et sur ma main, et un peu mon bras, et mon genoux aussi, "merci mon gars !"
L'univers de lendemain de soirée est un peu postapo. Il y a plusieurs caddies remplis à ras-bord de bouteilles vides. La sono ne s'est pas arrêtée de la nuit, on a eu droit à du Gorillaz, Wax Tailor... Que des bonnes zic.
Bon
On décolle ?

Cyril.

PS de Noé : Le rosé qui tâche, il tâchait tellement que j'en ai perdu ma casquette dans un pogo. C'est moche.